Musique, danse et moto, les passions de Gilles Gauthier
Un texte de Serge Lord
L’Association des employés retraités de la ville de Laval est allée à la rencontre d’un de ses membres, un passionné de la musique, de la danse et de la moto, Gilles Gauthier.
Toutes les aventures ont un début, celles de Gilles en ont plusieurs. Tout d’abord, mentionnons que les parents de Gilles ont élevé leur famille de six enfants dans une des ex-villes de la Ville de Laval – Pont-Viau – sur la rue Jubinville. Son père, un québécois pure laine, sa mère une Acadienne, évidemment du Nouveau-Brunswick. Sous cette union naquirent six enfants, quatre garçons et deux filles. Gilles est l’avant-dernier de la famille.
Son début sur le marché du travail s’est fait à l’âge de 14 ans comme laveur d’autos et pompiste dans une station de service. À la fin de son secondaire V, Gilles fut embauché par la chaîne de magasins Miracle Mart, à Pont-Viau sur le boulevard des Laurentides, maintenant on y retrouve les Cinémas Guzo. Il y bossa pendant quatre ans dans la section des systèmes de son. Son troisième emploi, et ce, grâce à l’un de ses frères, a été à titre de cuisinier à Place Versailles, au resto le Quick.
Le 16 janvier 1976, il fit ses débuts d’une carrière de plus de 30 ans à la Ville de Laval. Une personne influente à l’époque à la suite d’une démarche d’un de ses oncles lui permis d’occuper un poste d’opérateur de radio aux télécommunications pendant huit ans sous la gouverne de Raymond Bourguignon et de Jean-Paul Gagnon. Il accéda comme commis grade 2 à la paie sous la direction de Charlemagne Cyr, Pierre Parent et Jacques Legault. Puis Martin Fiset, directeur du Service des ressources humaines, procéda à une restructuration et le nomma responsable de la paie. Il a pris sa retraite le 1er mai 2006.
Sa vie amoureuse débuta en 1974, il épousa une jeune fille du quartier Laval-des-Rapides. De cette union naquirent deux enfants Martin et Nadine. Il compte à son palmarès cinq petits-enfants. Toutefois sa première union durera onze ans.
Prenant son courage à deux mains, il tenta une deuxième expérience dans le mariage qui a malheureusement durée huit ans. Il réside actuellement à Saint-Jérôme dans les Laurentides, le village du bon curé Labelle, avec une nouvelle conjointe qui aime la danse et la musique.
La musique
À la fin des années 1970, il se découvre une passion pour la musique et la danse. Il suit des cours d’animation et au début de 1980 devient « disc jockey », une profession qui deviendra au fil du temps bien prisée. D’ailleurs les talents de Gilles furent retenus lors de mariage de certains de ses collègues. Son chanteur favori est Engelbert Humperdinck et la musique qu’il préfère écouter est la musique latine, car elle est rythmée.
Également au début des années ‘80 et durant les fins de semaine, ses services furent retenus durant cinq ans par Martin Simard, le frère de René, à la Feuille d’Érable et pendant deux ans à la deuxième Feuille d’Érable.
De 1997 à 2012, nous pouvions le voir à la Bamba de Laval. Il s’est intéressé à l’animation de soupers rencontres.
De nos jours, Gilles est à l’honneur au Grand Studio – boulevard Saint-Martin, près de Le Corbusier – un samedi sur 2.
Gilles est également un passionné de moto, il se procure sa première moto à la consternation de ses parents en 1998. En 2005, il abandonne temporairement dû à un accident. Puis en 2021, il fait l’acquisition d’une Spider trois roues et il parcoure tous les ans le Québec, il roule en moyenne 10 000 km/année.
Gilles nous invite le voir au Grand Studio et nous recommande de VIVRE LE MOMENT PRÉSENT ET DE FAIRE CE QUE L’ON AIME.